Les chants

Voici quelques chants que nous chantons lors des veillées:

CHANT DU RASSEMBLEMENT


Qui donc rassemblera sa sizaine au complet la première
Qui donc rassemblera ses louveteaux au cri d'Akéla
Louveteaux et louvarts, craignont d'être en retard
La sauterelle saute, bondit et cours
Léger comme elle, couront, couront toujours

 

Alouette

Alouette, gentille alouette
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai le bec (bis)
Et le bec (bis)
Alouette (bis)
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !

Alouette, gentille alouette
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai le cou
Et le cou
Et le bec
Alouette
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !

puis : tête, ventre, queue, pattes, …





L'Alphabet scout

Un jour la troupe campa, a a a
La pluie s'mit à tomber, b b b
L'orage a tout cassé, c c c
Faillit nous inonder, a b c d.

Le chef s'mit à crier, é, é, é,
A son adjoint Joseph, f, f, f,
Fais-nous vite manger, g, g, g,
Les scouts restent sous la bâche, e, f, g, h.

Les pinsons dans leur nid, i, i, i,
Les loups dans leur logis, j, j, j,
Mes amis quel fracas, k, k, k,
Avec les hirondelles, i, j, k, l.

Joseph fit de la crème, m, m, m,
Et du lapin d'garenne, n, n, n,
Et même du cacao, o, o, o,
Mes amis quel souper, m, n, o, p.

Soyez bien convaincus, q, q, q,
Que la vie au grand air, r, r, r,
Fortifie la jeunesse, s, s, s,
Renforce la santé, q, r, s, t.

Maintenant qu'il n'pleut plus, u, u, u
Les scouts vont se sauver, v, v, v
Le temps est au beau fixe, x, x, x
Plus besoin qu'on les aide u, v, x, z

Et on n’a rien trouvé pour W
Et comme disaient les Grecs
Y a pas d’Y.




As-tu vu la vache ?


As-tu vu la vache, la vache aux yeux bleus ?
Toujours à la tâche, elle faisait «meuh ! meuh !»
Avec sa p’tite queue nature terminée par un plumet,
Elle battait la mesure pendant qu’les oiseaux chantaient.

Tous les b½ufs, tous les b½ufs
Tous les b½ufs aimaient la vache.
Mais la vache, mais la vache
N’en aimait aucun d’eux.

Elle aimait un taureau, Olé !
Qu’elle avait vu à Bilbao.
A la foire aux bestiaux.
Qu’il était fort, qu’il était beau
C’était un vrai taureau costaud, Olé !

Elle pleurait la vache : « Meuh ! »
Après son bien-aimé,
Qui était décédé
A la coco
A la riri
A la dada
A la corrida, Olé !





Au Clair de la Lune

1. Au clair de la lune, mon ami Pierrot,
Prête-moi ta plume pour écrire un mot.
Ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu,
Ouvre-moi ta porte, pour l’amour de Dieu

2. Au clair de la lune, Pierrot répondit :
Je n’ai pas de plume, je suis dans mon lit.
Va chez ma voisine, je crois qu’elle y est
Car dans sa cuisine on bat le briquet.

3. Au clair de la lune l’aimable Lubin
Frappe chez la brune ; elle répond soudain :
Qui frappe de la sorte ? Il dit à son tour :
Ouvrez votre porte, pour le Dieu d’amour !

4. Au clair de la lune on n’y voit qu’un peu !
On chercha la plume, on chercha du feu.
En cherchant d’la sorte je n’sais c’qu’on trouva
Mais j’sais qu’la porte sur eux se ferma !




Bataille de Reischoffen

C’était un soir, bataille de Reischoffen
Il fallait voir les cuirassiers charger
Cuirassiers ! Chargez! Et d’un bras !
puis : des deux bras, d’un pied,...





Le Bon Dieu s’énervait

Le bon Dieu s'énervait dans son atelier
Ça fait trois ans déjà que j'ai planté cet arbre
Et j'ai beau l'arroser à coeur de journée
Il pousse encore moins vite que ma barbe
Pour faire un arbre, mon Dieu que c'est long! (x4)

Le bon Dieu s'énervait dans son atelier
Sur ce maudit baudet qui n'veut pas travailler
Je n'arrive pas à le faire avancer
Et encore moins à le faire reculer
Pour faire un âne, mon Dieu que c'est long! (x4)

Le bon Dieu s'énervait dans son atelier
En regardant Adam marcher à quatre pattes
Mais pourtant nom d'une pipe
J'avais tout calculé
Pour qu'il marche sur ses deux pieds
Pour faire un homme, mon Dieu que c'est long! (x4)

Le bon Dieu s'énervait dans son atelier
En regardant ce monde qu'il avait fabriqué
Ces gens se battent comme des chiffoniers
Et j'n'peux plus dormir en paix
Pour faire un monde, mon Dieu que c'est long! (x4)




Buvons un coup ma serpette est perdue

Buvons un coup ma serpette est perdue
Mais le manche, mais le manche
Buvons un coup ma serpette est perdue
Mais le manche est revenu !

Buvons deux coups ma fourchette est tordue
Mais le manche, mais le manche
Buvons deux coups ma fourchette est tordue
Mais le manch' n'est pas perdu !

Buvons trois coups ma lorgnette est fourchue
Mais la tige, mais la tige
Buvons trois coups ma lorgnette est fourchue
Mais la tige est bien dessus !

Buvons quatre coups ma hachette est fendue
Mais le manche, mais le manche
Buvons quatre coups ma hachette est fendue
Mais le manche est bien dessus !

Buvons cinq coups ma trompette est tordue
Mais la note, mais la note,
Buvons cinq coups ma trompette est tordue
Mais la note est revenue !

Buvons six coups ma raquette est rompue
Mais le manche, mais le manche
Buvons six coups ma raquette est rompue
Mais le manche est bien dessus !

Buvons sept coups ma chaussette est fourbue
Mais la jambe, mais la jambe
Buvons sept coups ma chaussette est fourbue
Mais la jambe est bien dessus !

Buvons huit coups ma pincette est fondue
Mais le manche, mais le manche
Buvons huit coups ma pincette est fondue
Mais le manche est revenu !




Cantique des étoiles

As-tu compté les étoiles
Et les astres radieux
Déployant aux nuits sans voile
Leur cortège dans les cieux?
Dieu qui leur donna la vie et l'éclat
Dieu qui leur fixa ma course et le pas
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.

As-tu compté les abeilles
Butinant parmi les fleurs,
Papillons mouches vermeilles
Sans soucis et travailleurs?
Dieu qui les vêtit couleurs paradis,
Dieu qui leur fournit vivres et logis
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.

As-tu compté les fleurettes
Souriant au gai printemps?
Boutons d'or et pâquerettes,
Fleurs des bois et fleurs des champs?
Celui qui leur fit ces riches habits
Celui qui leur mit ces frais coloris
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.

As-tu compté les nuées
Passant dans les champs du ciel?
Et les gouttes de rosée
Aux reflets de l'arc-en-ciel?
Dieu qui fit le temps sombre ou éclatant
Le ruisseau chantant et les flots grondant;
Sait aussi quel est leur nombre
Et ne les oublie pas.

Sais-tu combien sur la Terre
Vivent d'enfants comme toi,
Dans le luxe ou la misère,
Fils de pauvres, fils de rois?
Dieu les connaît tous et les aime tous,
Dieu les garde tous et Dieu les veut tous :
Tu es aussi dans le nombre
De ceux qu'il n'oublie pas.




Le Cantique des patrouilles

Seigneur, rassemblés près des tentes
Pour saluer la fin du jour
Tes scouts laissent leur voix chantantes
Monter vers Toi, pleines d'amour
Tu dois aimer l'humble prière
Qui de ce camp s'en va monter
Ô Toi qui n'avais sur la terre
Pas de maison pour t'abriter

Refrain:
Nous venons toutes les patrouilles
Te prier pour Te servir mieux
Vois au bois silencieux
Tes scouts qui s'agenouillent
Bénis-les, ô Jésus dans les cieux

Merci de ce jour d'existence
Où ta bonté nous conserva
Merci de ta sainte présence
Qui de tout mal nous préserva
Merci du bien fait par la troupe
Merci des conseils reçus
Merci de l'amour qui nous groupe
Comme des frères, ô Jésus.

Refrain




Chevaliers de la Table Ronde

Chevaliers de la table ronde
Goûtons voir si le vin est bon
Goûtons voir, oui, oui, oui
Goûtons voir, non, non, non
Goûtons voir si le vin est bon

S'il est bon, s'il est agréable
J'en boirai jusqu'à mon plaisir.

Si je meurs, je veux qu'on m'enterre
Dans une cave où il y a du bon vin.

Les deux pieds contre la muraille
Et la tête sous le robinet.

Et les quatre plus grands ivrognes
Porteront les quat'coins du drap.

Pour donner le discours d'usage,
On prendra le bistrot du coin.

Sur ma tombe je veux qu'on inscrive:
"Ici gît le roi des buveurs" !




La Cloche du vieux manoir

C'est la cloche du vieux manoir, du vieux manoir
Qui sonne le retour du soir, le retour du soir
Ding, dang, dong. Ding, dang, dong






Dans sa maison

Dans sa maison un grand cerf
Regardait par la fenêtre
Un lapin venir à lui
Et crier ainsi :
«Cerf, cerf, ouvre-moi !
Ou le chasseur me tuera.»
«Lapin, lapin entre et viens
Me serrer la main.»



Debout les gars



Debout les gars réveillez-vous
Il va falloir en mettre un coup
Debout les gars, réveillez-vous
On va au bout du monde.

1. Cette montagne que tu vois
On en viendra à bout mon gars
Un bulldozer et deux cents bras
Et passera la route.

2. Il ne faut pas se dégonfler
Devant des tonnes de rochers
On va faire un 14 juillet
A coups de dynamite.

3. Encore un mètre et deux et trois
En 1983
Tes enfants seront fiers de toi
La route sera belle.

4. Les gens nous prenaient pour des fous
Mais nous on passera partout
Et nous serons au rendez-vous
De ceux qui nous attendent.

5. Et quand tout sera terminé
Il faudra bien se séparer
Mais on n'oubliera jamais, jamais
Ce qu'on a fait ensemble.

6. Il nous arrive parfois le soir
Comme un petit coup de cafard
Mais ce n'est qu'un peu de brouillard
Que le soleil déchire !




Les Éléphants se balançaient

Un éléphant se balançait
Sur une toile, toile, toile, toile d’araignée
Il trouvait ce petit jeu
Tellement amusant
Que bientôt
Deux éléphants…





Frère Jacques



Frère Jacques (bis)
Dormez-vous ? (bis)
Sonnez les matines ! (bis)
Dig, dang, dong ! (bis)







Je mets la main devant

Je mets la main devant
Je mets la main derrière
Je mets la main devant
Et je fais des petits ronds
Je danse le boogie-woogie
Je fais des petits ronds
Et je m'en vais plus loin.

Je mets le pied devant ...
Je mets la tête devant ...
Je mets le coude devant ...
Je mets le doigt devant ...






Jim Macoye

Refrain:
Jim Macoye (4x)
Jim Macoye (4x)

Jim Macoye dans son berceau
Etait tellement costaud
Qu'il démolissait les barreaux
Rien qu'avec ses dents! Rrra!

Jim Macoye à dix-huits ans
Etait si résistant
Qu'il faisait fuir les surveillants
Rien qu'avec ses dents! Rrra!

Jim Macoye à vingt-cinq ans
Etait un tel gaillard
Qu'il ouvrait les boit'de de pilchard
Rien qu'avec ses dents! Rrra!

Jim Macoye à trente-trois ans
Etait tellement costaud
Qu'il a tué un gros taureau
Rien qu'avec ses dents! Rrra!

Jim Macoye à trente-cinq ans
Etait dev'nu si fort
Qu'il ouvrait tous les coffre-forts
Rien qu'avec ses dents! Rrra!

Jim Macoye à quarante ans
Etait tellement gourmand
Qu'il faisait frémir ses parents
Rien qu'avec ses dents! Rrra!

Jim Macoye à nonante ans
Etait tellement vieilli
Qu'il sucait ses macaronis
Sans plus aucune dent! Pffuit!

Jim Macoye à cent trente ans
Etait un tel gaillard
Qu'il tirait son prop' corbillard
Rien qu'avec ses dents! Rrra!




Ma belle gazelle

1. Un grand lion d’Afrique
Etait amoureux
D’une romantique
Gazelle aux yeux bleus.
Ce lion au c½ur tendre,
Qui l’eut, qui l’eut dit,
Pleurait dans la lande
Chantait dans la nuit

ref : Ma belle gazelle (ter)
C’est toi que je veux.
Ma belle gazelle, ma belle gazelle,
Ma belle
C’est toi que je veux.

2. Sur mon territoire,
Sans risquer ta vie,
Tu peux venir boire
A l’eau de mon puits.
C’est fini la guerre
Que l’on se faisait.
Contre ma crinière,
Viens dormir en paix.

3. Souviens-toi mon ange
Qu’au temps de Noé,
Nous vivions ensemble
Sans nous disputer.
A nous deux ma blonde
On peut tout changer
Et refaire le monde
Pour l’éternité

4. Il mit tant de flamme
Dans son beau discours
Qu’même l’hippopotame
En pleura d’amour
Les étoiles au ciel
Jaillirent de partout
Quand la demoiselle
Vint au rendez-vous

5. Les loups, les panthères,
Les rhinocéros,
Et même les dromadaires
Vinrent pour les noces
Ils se marièrent
Et de leur union
Naquirent, ma chère,
Des p’tits gazillons





Savez-vous planter les choux ?

ref : Savez-vous planter les choux,
A la mode, à la mode,
Savez-vous planter les choux,
A la mode de chez nous

On les plante avec le pied
A la mode, à la mode,
On les plante avec le pied
A la mode de chez nous

puis : avec le coude, le nez, le doigt,…





Tête, épaules et genoux, pieds

Tête, épaules et genoux, pieds
Tête, épaules et genoux, pieds
J’ai deux yeux, deux oreilles, une bouche et un nez
Tête, épaules et genoux, pieds, genoux, pieds.





Trois esquimaux

Trois esquimaux, autour d’un brasero
Ecoutaient l’un d’eux qui sur son banjo
Rythmait le mortel ennui
Du pays du soleil de minuit.
‘Y a pas de soleil en Alaska
Woudji, woudji, woudji, wa, wa, wa.
Sur la banquise pas de mimosas
Pas de petits moutons sautant sur le gazon
Pas de rutabagas et pas de bouillons gras.
Houm, bala houm, bala houm, bala houm, ba la la
Houm, bala houm, bala houm, bala houm.





Un kilomètre à pied

Un kilomètre à pied
Ça use, ça use
Un kilomètre à pied
Ça use les souliers

La peinture à l’huile
C’est bien difficile
Mais c’est bien plus beau
Que la peinture à l’eau

Deux kilomètres à pied…



Y’a qu’un cheveu



Y’a qu’1 cheveu sur la tête à Mathieu

Y’en a 2, 2 testaments
L’ancien et le nouveau oh, oh, oh !
Y’a qu’1 cheveu sur la tête à Mathieu.

Y’en a 3, Troie en Champagne
2 testaments, l’ancien et le nouveau oh, oh, oh !
Y’a qu’1 cheveu sur la tête à Mathieu.

Y’en a 4, Catherine de Médicis…

Y’en a 5, simplicité…

Y’en a 6, système métrique…

Y’en a 7, c’est épatant…

Y’en a 8, huîtres de Zélande…

Y’en a 9, n’½uf à la coque…

Y’en a 10, dis c’que tu veux…

Y’en a 11, on s’en fout…

Y’en a 12, d’où c’que tu viens…

Y’en a 13, treize à la douzaine…